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CD "Souffles" (parution Décembre 2012 aux Editions de l'Astronome)

Quatre haikus : '... une sensibilité très fine s'exerce dans ces quatre miniatures où la musique vient en réponse au verbe, dans un temps et un espace qui lui est propre. Sophie Lacaze y excelle, qui aime travailler dans la petite forme et l'économie du matériau.'

Het Lam Gods III :
'...des textures irradiantes, proches des « mixtures » de l’orgue, conférant aux mots du récitant leur dimension plastique et émotionnelle. Des effluves sacrées semblent circuler dans le labyrinthe des sons et des mots, ces « souffles » – titre même du CD – qui traversent toute la musique de Sophie Lacaze, musique de l’épure jouant ici en contrepoint avec les mots et le silence.'

Michèle Tosi, ResMusica, Janvier 2013

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'« Souffles », c’est un disque fort. Un disque différent. Un disque qui, comme un souffle de vent, vous ébouriffe l’esprit. Un disque qui, comme un dernier souffle, vous laisse sans voix....

C’est beau, vibrant, magique, tout simplement…'

Marie Lesobre, Evemagazine, Janvier 2013

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'... une nouveauté : le cd audio "Souffles", récemment paru aux éditions de l'Astronome. Le merveilleux comédien Alain Carré, qui se produit régulièrement avec le pianiste François-René Duchâble, met en voix des textes de Jean Tardieu, Arthur Rimbaud, des haïkus japonais... sur des musiques de Sophie Lacaze faisant la part belle aux instruments à vent. A couper le souffle.''

ClairIsabelle Vauconsant, la gazette de Nîmes, Janvier 2013

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La musique pour flûtes de Sophie Lacaze - Traversière Magazine n°104

'... Après la découverte de la musique d'Alain Bancquart, partons à la découverte de celle de Sophie Lacaze... En une quinzaine d'années, notre répertoire s'est considérablement enrichi grâce à elle de solos, duos, œuvres de musique de chambre, de pièces pour orchestre de flûtes. Notre instrument est incontestablement le moyen d'expression privilégié de cette artiste solitaire et exceptionnellement douée tout autant que sympathique.'
Pierre-Yves Artaud,Traversières Magazine (n°104), Octobre 2012

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'Il y a longtemps, j'ai rencontré la musique de Sophie. Une musique de grands espaces, de temps aboli, une relecture de la dilatation et du resserrement. C'était "Broken Words" le premier quatuor qu'elle a offert à l'Ensemble Hélios, une musique, donc, pour flûte et trio à cordes : l'immensité du bush australien, l'éclatement des mots, puis leur recomposition, et de nouveau la suspension de paysages dont l'oeil ne peut saisir le terme.
Alors, Sophie m'a présenté "Voyelles". J'ai réclamé qu'elle rende à Rimbaud tout son texte, et, avec bonheur, j'ai promené cette pièce, de musique et de poésie mêlées, devant des publics qui retrouvaient les mots récités à l'école enrichis des sons d'un autre temps. Merveilleux croisement temporel !
...
Un jour, "l'Agneau mystique" est arrivé. Sophie avait croisé le triptyque de Van Eyck dans une église, pensé à nous en le regardant, des textures musicales avaient résonné en elle. Voulions-nous bien de ce deuxième quatuor pour Hélios ? Nous avons plongé dans son temps dilaté, sons étirés, profond recueillement.
La dernière immersion a eu lieu avant Pâques avec ma classe de Versailles. Une grande fête Lacaze, 8 pièces pour flûtes de Sophie : Estampes, Voices of Australia, La vita è bella ?, Voyelles, Pour six flûtes, PY, Archèlogos II, L'espace et la flûte….
Au début, les étudiants, chacun avec leur partition, marquaient un engagement poli. Quand nous avons commencé les répétitions, tissé les fils entre eux,étiré le temps, texturé le rien, trituré la matière sonore, écouté l'espace s'ouvrir, tout a changé. Il y a eu la magie Lacaze.
Les plus réservés sont repartis enthousiastes, l'oreille élargie par une autre lecture de l'acte musical...'
Christel Rayneau, Traversières Magazine (n°104), Octobre 2012

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Grand Prix Lycéen des Compositeurs

'En 2009, pour les dix ans du Grand Prix, nous n'avions pas un, mais deux lauréats : Sophie Lacaze et Richard Dubugnon... Leurs créations étaient donc à l'affiche cette année. Ils ont chacun écrit une oeuvre pour flûtes, interprétée avec brio par les 24 instrumentistes de l'Orchestre de Flûtes Français fondé par Pierre-Yves Artaud et dirigé ici par Paul Méfano.
L'Espace et la Flûte
Il est peu de dire qu'il s'agit de l'instrument de prédilection de la compositrice, qui en a élargi le répertoire avec pas moins d'une dizaine d'oeuvres. Sa création pour le Grand Prix, L'Espace et la Flûte, consiste en un thème et variations sur le poème surréaliste de Jean Tardieu (1903 - 1995), écrit à partir de dessins de Picasso, qui fut dit par l'excellent comédien Alain Carré. Une musique à caractère ludique qui fait se rejoindre le figuratif (crissements d'insectes, par exemple !) et de belles couleurs sonores.'
E. Fottorino, La Lettre du Musicien, Avril 2010


CD "Works with flutes" (Editions SOLAL, Allemagne - 2009)

'Ce CD de Sophie Lacaze présente la flûte traversière dans un cortège d'œuvres écrites pour la plupart à l'intention de Pierre-Yves Artaud. Une flûte dans différentes postures, non seulement virtuose mais également dans une forme de nudité à la naissance du son, du souffle…
Het Lam Gods II (2007)… Sophie Lacaze nous plonge dans une ambiance sonore envoûtante, dans des vapeurs sonores et un traitement des timbres qui capte l'attention…
And then there was the sun in the sky (2000)… L'auditeur est enveloppé dans des nappes de sons et de souffle. La combinaison de la flûte solo, du didgeridoo et de l'orchestre de flûtes, judicieuse, constitue un des moments phares de cet album…
Les quatre éléments (2005)… Cette œuvre, qui clôt l'album, capte par l'originalité du traitement des voix d'enfants, l'utilisation inusitée des percussions et des interventions savamment choisies de la flûte.'
C. Hourneau, Traversières Magazine, Mars 2010.
Concerts...

'... Puis "Duo" de Sophie Lacaze, très belle voix de Kiyoko Okada et magnifique travail de sons mémorisés qui entrent en résonnance, se dédoublent, s'entrecroisent... Pour "Voices of Australia", je me suis laissée aller au plaisir de l'instant : les chaises longues, le ciel ouvert, les arbres et la pierre chaude sous les pieds. Une infinie douceur pour nous laisser porter à l'écoute...
Pour "Archélogos I" et "Archèlogos II" ... des sonorités surprenantes parce que désincarnées de la fluidité que l'on a l'habitude d'entendre...'
Pascale Routier, journal du Son MiRé, Août 2007


'La musique actuelle ne pouvait manquer dans ce concert aux résonances multiples; le plaisir de la découverte nous vint de la jeune compositrice Sophie Lacaze, dont les "voix australiennes" pour flûte et voix pré-enregistrées, mélangent les rythmes et sonorités étranges et mystérieuses des cris d'oiseaux aux voix humaines... cette symbiose des voix vivantes réalisée comme un montage électronique avait la saveur des innombrables appels de la vie".
Hilda Van Hell, presse luxembourgeoise, Août 2006


'Ce rêve musical est une approche subtile des origines du monde' (à propos de Dreaming).
le Progrès, Août 2004


'La plus jeune compositrice de ce disque, Sophie Lacaze, née en 1963, ..., montre un talent certain avec Broken Words .'
F. Mallet, Classica-Répertoire, Juin 2004


'Voyelles, de Sophie Lacaze, est une oeuvre ingénieuse.'
J. Amblard, le Monde de la Musique, Juin 2004


'une oeuvre de Sophie Lacaze... "Broken Words" spécialement écrite pour le quatuor Helios : un moment magique pour la manifestation qui indique que le XXIe siècle débute sous le signe de la femme...'
la Montagne, Août 2002


'mystérieux quatuor "Broken Words" de Sophie Lacaze, musique aux rythmes inventifs et aux moyens sonores inédits, inspirée par le quasi-silence et les violences de l'immensité australienne... subtil...'
C. Géliot, Septembre 2001


'Another intriguing trio was "Comme une rue pavée" for violin, clarinet and piano by French composer Sophie Lacaze, an atmospheric piece in which the musical interest is nicely spread between the three instruments.'
W.L. Hoffmann, The Canberra Times, December 1, 1999


'"La Vita è Bella ?" revealed music of fluent charm and the kind of originality that can sometimes accompany modesty.'
R. Chapman-Smith, The Advertiser, October 12, 1999


'Interprétation exceptionnelle des "trois mélodies" pour voix et trio à cordes de Lacaze, dont la tension et l'émotion saisirent le public...'
L. Camensuli, la Dépêche du Midi, Février 1993


Sur des oeuvres :


'Quand de prime abord, nous regardons la partition de Sophie Lacaze « 4 Haïkus », nous pensons que celle-ci n'est pas très difficile… C'est sans compter sur la subtilité et la précision de l'écriture de cette compositrice...
Comme le titre de la pièce l'indique, les quatre mouvements s'articulent autour de Haïkus (petit poème japonais extrêmement bref visant à dire l'évanescence des choses)
Le premier haïku est basé sur la pluie. Jeu d'imitation de la fine pluie de printemps qui tombe où entre le piano et le saxophone l'averse s'intensifie et se calme. Précision du détaché et des émissions, nuances équilibrées entre les deux instruments, slap et harmonique pour le saxophoniste, maintiens du tempo dans une partition où le silence a toute sa place...
Dans le deuxième mouvement, le saxophoniste joue une partie non mesurée et lente, pavillon dans le piano, le pianiste se contentant de laisser la pédale de résonance enfoncée. Quelques quarts de tons et multiphoniques. Travail autour de « l'ombre » du saxophoniste (cf. Haïku)
Le troisième s'articule autour du bruissement du vent, traits rapides sur des nuances extrêmes en respiration circulaire accompagnés de réservoirs de notes pour le pianiste. Les bruissements se transforment peu à peu en trilles puis en bruits de clefs.
Le dernier Haïku symbolise la musique japonaise traditionnelle avec un sakashi plaintif (au saxophone) et l'accompagnement du piano faisant penser au Okedo Daiko (gros tambour japonais) ...
... très belle pièce demandant une bonne maîtrise instrumentale.'
Stéphane Sordet, AsaxWeb, Décembre 2011