Maye
Pour / for: percussions (vibraphone, gong, crotale ou bol tibétain en la)/ percussions instruments (vibraphone, gong, antique cymbal or Tibetan bowl in A)
Durée / Duration: 9′
Création / First performance: Avril 2014 par Laurent Mariusse, Festival Turbulences Sonores, Montpellier, France / April 2014 by Laurent Mariusse, Festival Turbulences Sonores, Montpellier, France.
Commande / Commissioned by: Festival Turbulences Sonores
Dédié à / Dedicated to: Laurent Mariusse
Editeur / Publisher: BabelScores
“Maye” a été composé 2014 et a été créé en avril de la même année par le percussionniste Laurent Mariusse à Montpellier, France, pour le festival Turbulences Sonores. Le concert été constitué de pieces pour percussions inspires par l’Asie du sud est ou ayant des liens avec cette region du monde.
“Maye” est une oeuvre en 3 parties pour vibraphone et gong. Chaque partie est basée sur un pelog, un des principaux modes de la musique pour gamelan originaire de Bali et Java, en Indonésie. En javanais, « Maye » se traduit par « imaginaire » ou « irréel ».
Dans cette pièce, Sophie Lacaze utilise les trois modes les plus courants à Bali :
– Pelog Selisir pour la 1ère partie,
– Pelog Sunaren pour la 2ème partie,
– Pelog Tembung pour le dernier.
La 2e partie s’inspire librement du bubaran “Udan Mas”, une pièce de musique traditionnelle de Java.
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« Maye » was composed in 2014 and premiered in April of the same year by percussionist Laurent Mariusse in Montpellier, France, for the Turbulences Sonores festival. The concert consisted of percussion pieces inspired by Southeast Asia or having connections with this region of the world.
« Maye » is a three-part work for vibraphone and gong. Each part is based on pelog, one of the main musical modes for gamelan, originating from Bali and Java in Indonesia. In Javanese, « Maye » translates to « imaginary » or « unreal. »
In this piece, Sophie Lacaze uses the three most common pelog modes in Bali:
– Pelog Selisir for the first part,
– Pelog Sunaren for the second part,
– Pelog Tembung for the last part.
The second part is loosely inspired by bubaran « Udan Mas », a traditional piece of music from Java.