Immobilité sérieuse I
Pour / for: piano et orchestre à cordes / piano and string orchestra
Durée / Duration: 5’40
Création / First performance:
Création de la 1e version en Décembre 2013 par Samuel Bismut (piano) et l’Orchestre à cordes du CRR et de l’Université Paul Valéry de Montpellier, direction Denis Comtet, à Montferrier, France / World premiere of the 1st version in December 2013 by Samuel Bismut (piano) and the Orchestre à cordes du CRR et de l’Université Paul Valéry de Montpellier, conductor Denis Comtet, Montferrier, France.
Création de la version définitive en Mars 2015 par Alessandro Cesaro (piano) et I Solisti Veneti, direction Claudio Scimone, à Padova, Italie / First performance of the final version in March 2015 by Alessandro Cesaro (piano) and I Solisti Veneti, conductor Claudio Scimone, Padova, Italy.
Dédié à / Dedicated to: Claudio Scimone et I Solisti Veneti
Editeur / Publisher: Editions Delatour

« Immobilité sérieuse I », écrite en 2013, est la première d’une série de pièces pour instrument solo et orchestre à cordes de Sophie Lacaze. Hommage à Erik Satie, « Immobilité sérieuse I » est basée sur un motif tiré des « Vexations » que Satie avaient composées pour le piano, et qui avaient été créées à New York par John Cage et plusieurs de ses amis pianistes le jour de la naissance de la compositrice.
« Pour se jouer 840 fois de suite ce motif, il sera bon de se préparer au préalable, et dans le plus grand silence, par des immobilités sérieuses » Erik Satie.
—————
« Immobilité sérieuse I » (« Serious immobility 1 »), written in 2013, is the first piece of a series of works for solo instrument and string orchestra by Sophie Lacaze. Homage to Erik Satie, « Immobilité sérieuse I » is based on a pattern from Satie’s work « Vexations » that was composed for the piano. « Vexations » was premiered in New York by John Cage and several of his friends on Sophie Lacaze’s day of birth.
« In order to play this motif 840 times consecutively to oneself, it would be advisable to prepare oneself beforehand, in the deepest silence, by serious immobilities » Erik Satie.